Apres un temps d’expérimentation, j’ai pris une photo de la nébuleuse d’Orion.
Les photos ont été prises sur 3 nuits (20, 21, 23 janvier). Le temps total de pose est d’un peu plus d’une heure.
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Juste avant de rentrer le matériel hier soir vers 0h30, j’ai décidé de tenter de viser quelque chose de nouveau.
Invisible a l’œil nu, la nébuleuse de la rosette se situe a 5000 années-lumière dans la constellation de la Licorne. Le nuage de gaz s’étend sur environ 100 années-lumière.
La cavité centrale, qui s’étend sur 50 années-lumière, est un amas ouvert connu sous le nom NGC 2244 qui émet dans l’ultra-violet et ionise le nuage d’hydrogène environnant.
3 heures de pose avec le 150/750.
Ayant fait des photos de la nébuleuse d’Orion plusieurs fois, je me suis demandé si je pouvais exploiter ces sessions pour une seule photo combinée.
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Après quelques sorties du télescope, j’ai maintenant une routine qui me convient.
Seconde nuit claire donc nouvelle sortie avec le télescope.
Ayant pris des leçons de la nuit précédente, j’ai préparé le télescope pendant la journée. Il ne restait qu’à pointer Polaris et partir.
Cette fois, j’ai commencé par une tache dans le ciel qui m’intrigue depuis quelques jours: les Pléiades. 40 poses de 20 secondes avec le 7D standard à ISO 800.
Première nuit claire depuis l’arrivée du télescope, donc première sortie dans le froid de décembre.
Comme c’est la saison, j’ai pointé sur Orion pour prendre la nébuleuse (M42 et M43). 45 poses de 20 secondes avec le Canon 7D standard à ISO 800 et elle apparait.
Une fois le collimateur collimaté, passons à la collimation du télescope. Si je comprends bien la théorie, c’est très simple avec un laser.
Ayant un télescope, je me suis dit qu’il serait bon de le collimater (ça ne serait pas plus facile s’ils étaient collimatés d’usine?). En cherchant sur les forums, j’ai trouvé plusieurs méthodes (laser, Cheschire, masques, etc.), et beaucoup de mises en garde contre l’utilisation des lasers. Mais en même temps, elle parait la plus simple. J’ai donc opté pour essayer.
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J’ai toujours été intéressé par l’astronomie. Tout petit, je voulais tout savoir sur les planètes. J’étais fier de connaitre le nom de tous les satellites de Jupiter et Saturne (a l’époque le nombre était petit). Avec le temps, d’autres intérêts ont pris le dessus (dinosaures, ordinateurs, programmation, photographie, etc) mais je gardais toujours un œil sur les revues spécialisées.
